Biarritz (64)
 
Biarritz est une commune du département des Pyrénées Atlantiques rattachée à la province basque du Labourd non loin de la frontière avec l’Espagne. A l’origine (dès le XIème siècle), Biarritz est un petit village de pêcheurs de baleines. De 1152 à 1451, Biarritz et le Labourd sont sous la domination anglaise. Avec la disparition des baleines, les marins deviennent corsaires du roi. La mode des bains de mer conduit Napoléon et Joséphine à s’y baigner en 1808. L’impératrice Eugénie, séduite par les lieux, en fait sa villégiature à partir de 1854. Napoléon III lui fait construire un palais où les têtes couronnées de toute l’Europe affluent. La ville devient une station balnéaire réputée. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les allemands creusent le mur de l’Atlantique dans ses falaises et occupent la côte basque. En mars 1944, la ville est bombardée. A la fin des années 50, le surf fait son apparition à Biarritz grâce à la qualité des vagues de la côte atlantique. Biarritz est aujourd’hui l’une des plus prestigieuses stations balnéaires de la côte atlantique.

Eglise orthodoxe

Eglise Sainte Eugénie

Hôtel du Palais (Palais de l'Impératrice Eugénie)

Phare de Biarritz depuis les plages d'Anglet

Port des pêcheurs

Marée basse / haute

Rocher de la Vierge

Feu d'artifice du 15 août 2011

Plages d'Anglet

Mes commentaires :
Sans doute la ville la plus animée de la côte. Le phénomène des marais ajoutent encore au charme de cette station balnéaire. Ici, les jeunes surfeurs bodybuildés et bronzés côtoient les vieilles bourgeoises décolorées et antipathiques. Le front de mer est magnifique avec plusieurs panoramas qui méritent l’attention du visiteur. Celui depuis le rocher de la Vierge et celui depuis le phare de Biarritz permettent une découverte complète de la ville côtière. Les hôtels de luxe, le casino, les magnifiques résidences, le vieux port de pêche, le rocher de la Vierge, le musée de la Mer et le phare se découvrent à pied. Il est de toute façon très difficile de circuler dans la ville. La double indication français – basque crée la confusion et complique grandement la circulation dans toute la région.